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    Premièrement, il faut prendre en note l'aspect économique de la chose. Pour moi, cela représente un aspect important du sujet. Il faut prendre conscience que les étudiants comblent en moyenne chaque été près de dix-milles emplois. Sommes-nous réellement prêt à sacrifier la main-d’œuvre bon marché que représentent les étudiants? Selon moi, il est clair que non. Nous avons et nous aurons toujours besoin de personnes pour travailler dans les chaînes de restauration rapide ou dans les magasins de vêtements. Le fait est que ces jeunes, après avoir reçu une rémunération, contribuent aussi à faire fonctionner notre économie en redistribuant leur salaire dans l’un ou dans l’autre des boutiques qui les intéressent.

     

    Deuxièmement, il faut prendre en note que certaine personne on besoin de cette argent pour eux. Ce n’est pas tout le monde qui a la chance de se faire payer ses études par leurs parents. Certains doivent travailler dans le but de pouvoir aider leurs parents à payer les études au CÉGEP ou à l’université. Un autre fait est que certains parents ne veulent plus payer les dépenses personnelles de leurs enfants à partir de certain âge. Mes parents, par exemple, me nourrissent et m’achètent des vêtements, mais depuis l’âge de seize ans ne me payent plus mes sorties au cinéma ou à d’autres endroits. J’ai donc besoin de cette argent pour pouvoir avoir du plaisir de temps en temps.

     


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  • À travers le monde, il est difficile de trouver un gouvernement capable de faire l'unanimité au sein de la population qu'il représente. C'est justement le cas du gouvernement du Québec qui essuie plusieurs critiques quant à sa gouvernance de la province. On augmente les frais de scolarité, on octroie des contrats de construction sans appels d'offres, on met beaucoup d'argent dans la réparation de nos routes et ponts, etc. Justement, à ce sujet, il serait peut-être avantageux pour la province d'installer des postes de péages à des endroits stratégiques pour améliorer la situation de nos routes. Par le fait même, on améliorerait l'état de nos routes, on diminuerait l'argent pris à même les impôts pour réparer nos infrastructures et on favoriserait le transport en commun.

     


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  • Chère madame Vachon,

    Selon moi, vous avez raison sur le fait que lorsqu'on est bombardé par des messages écolos on puisse ressentir un sentiment de désintérêt parce que comme on le dit: trop c'est comme pas assez. Cependant, il est question de la survie de notre planète ici et par le fait même de nos vies. Comment peut-on s'en sentir désintéressée?

    Le message que les écolos culpabilisateurs essaient de nous véhiculer est peut-être excessif, mais nécessaire. On peut juste penser au Canada qui vient de se retirer hâtivement à l'approche du bilan de l'accord de Kyoto. Tout ça pour éviter de devoir payer des sanctions pour le non-respect des dispositions de l'accord. Bien sûr, ce n'est pas bien grave de ne pas respecter nos accords internationaux en ce qui concerne l'environnement puisque après tout le Canada n'est pas le seul à polluer. On se croirait à la maternelle! Ce n'est pas parce que le voisin fait rien que nous aussi on doit rien faire. On prévoit que si l'on ne change pas nos habitudes d'ici 2050, les changements climatiques seront devenus irréversibles.

    Je sais très bien que vous êtes une citoyenne contentieuse, mais pensez-y, sommes nous prêt à ne pas écouter les messages des écolos extrémistes seulement parce qu'on en a assez de les entendre? Je ne pense pas. Il vaut mieux agir vite que d'attendre à la dernière minute. Je voudrais finir sur une phrase illustrant bien mes propos : rien ne sert de courir, il faut seulement partir à temps.

    Jonathan Jalbert


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